samedi 25 mars 2017

UNE PLEINE CORBEILLE À LINGE ! COMME AVANT ! / les oreillettes

Merveilles, bunyètes, oreillettes. Si la coutume n’est plus respectée à la lettre : il en va ainsi des traditions dont certaines doivent bon gré mal gré s’adapter à la modernité, je pense à celle de pays d’accueil que les politicards douteux nous bassinent à tout-va, la bassine à frire, elle, peut encore et heureusement marquer le carnaval (merci Laeti !), la fin du carême ou le printemps serait-ce avec une vigilance orange (merci Camillou, merci Titi !). 

C’est seulement que nous avons hérité et que nous devons transmettre une force de vie liée à des rites aussi païens que paysans... (faute de goûter cette préparation du 24 mars, faut bien que je me console avec ma gourmandise de mots !) 

Oreillettes parce qu’elles ressemblent, une fois cuites, à des oreillasses (Jean Ferry en avait, de belles oreilles !) ? Oreillettes parce qu’on mettait la pâte à lever sous l’oreiller (l’eau dans le verre gelait sur la table de nuit !) ?

L'oreillette c'est le soleil, disent d’autres, le renouveau et l’espoir en de belles récoltes ! Toutes ses variantes en bien de régions et pays élèvent vers l'infini la même espérance.

Quand une infime minorité malfaisante de meneurs dénaturés impose sa vision "pépètière" du monde, craquons, croquons des oreillettes pour leur signifier que leurs pépètes sont à vomir, elles !

Photo empruntée à ma nebeude Laeti ! Gros poutous ! Tontonton !)

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